ZERO - Le paradoxe du MP3
Les molécules qui composent ZERO ont chacune, indépendamment, des activités et des interactions avec le corps humain qui sont évidemment différentes de celles de la nicotine, mais chacune apporte une interaction qui peut être assimilée de manière singulière et partielle à l'un des effets de nicotine.
Lorsque nous avons abordé le projet ZERO, le point de départ était de décrire le fonctionnement de la nicotine sur la base de la littérature scientifique. La nicotine interagit avec l'organisme humain de manière transparente sur le système nerveux central, sur les récepteurs, fournissant et activant des mécanismes biologiques qui déterminent, entre autres, son fonctionnement, sa dépendance.
Les molécules qui composent ZERO ont chacune, indépendamment, des activités et des interactions avec le corps humain qui sont évidemment différentes de celles de la nicotine, mais chacune apporte une interaction qui peut être assimilée de manière singulière et partielle à l'un des effets de nicotine.
De ces considérations vient le paradoxe MP3, en fait on imagine que la nicotine est la piste d'un disque vinyle dans laquelle la tête du tourne-disque lit les signaux à transmettre, ces signaux sont justement analogues ou couvrent le tout l'activité de la nicotine et sont transmises intégralement au système audio. Les composants de ZERO, par contre, peuvent être assimilés à l'algorithme de compression typique du système de codage MP3 capable de réduire significativement la masse de données du son original mais en maintenant une reproduction acceptable du son non compressé. Ces signaux audio adressés à l'oreille humaine non sensible sont sensiblement équivalents à la piste audio originale: celle de l'enregistrement ou si vous aimez un concert en direct.
À ce stade, il devient facile de comprendre comment fonctionne ZERO, il agit par blocs en couvrant les signaux que l'organisme considère comme essentiels pour reconnaître l'effet de la nicotine. Cependant, ZERO n'est pas et ne sera jamais comme la nicotine, ceci avec ses avantages et ses défauts mais reconstruit un signal reconnaissable par le corps par analogie.
Une chose que ZERO ne reconstruit certainement pas est la toxicité typique de la nicotine à laquelle il est ajouté que ses composants ne sont pas classés comme substances addictives.
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